En plus des troubles cognitifs, les victimes d'un traumatisme crânien peuvent aussi avoir des troubles du comportement qui conduisent parfois à l'exclusion sociale. Ces troubles peuvent donc se développer sur :
- un versant désinhibé (syndrôme frontal) : conduite à des sautes d'humeur, des gestes grossiers ...
- un versant inhibé : entraîne de la dépression, un désinvestissement, de l'apathie ...
L'assistance d'un avocat spécialisé en droit du dommage corporel et sensibilisé à la problématique bien spécifique du traumatisme crânien est indispensable car, après un accident corporel grave, le blessé doit être mis à l’abri pour le reste de sa vie.
Mal indemnisé il vivra dans des conditions précaires toute sa vie, c'est pourquoi il est essentiel de confier la défense de vos intérêts à des personnes spécifiquement formées à reconnaître ce handicap si particulier.
Avocat titulaire des DIU « Evaluation des traumatismes crâniens » et « Traumatismes craniaux et cérébraux, aspects médicaux et sociaux », Claire Pichon vous apporte ses compétences et son expertise afin que les conséquences dramatiques du traumatisme crânien soient correctement appréciées et indemnisées aussi justement que possible.